jeudi 11 janvier 2007

paru sue le web (journel le Matin ).

Le rôle du notaire :
L'ensemble des frais et droits consécutifs à l'acquisition d'un bien immobilier sont à la charge de l'acquéreur.
Ils sont composés de taxes, d'impôts, de droits de timbres, de frais d'obtention des pièces administratives et des honoraires du notaire. Les frais de notaire sont essentiellement des impôts collectés par le notaire pour le compte de l'état. Il s'agit des "droits de mutation".
A ces impôts, s'ajoutent les honoraires du notaire.
C'est le barème des tarifs proportionnels (ou fixes) hors taxes qui rétribuent pour l'essentiel la rédaction des actes établis par le notaire (promesse de vente, actes authentiques, affectation hypothécaire).
Le bénéficiaire est le trésor public. C'est ce qui correspond à la taxe de publicité foncière. Le coût des timbres fiscaux, la TVA immobilière et la TVA sur les émoluments.
Il existe aussi les DEBOURS : Le bénéficiaire en est le notaire pour les démarches qu'il a faite. Ce sont les sommes déboursées par le notaire pour se procurer l'extrait cadastral, les états hypothécaires, le certificat d'urbanisme, la purge du droit de préemption, pour payer le salaire du conservateur des hypothèques.
Le montant de la taxe notariale, lorsqu'il s'agit d'une vente immobilière est de 0,5 % du prix de vente.
Quant aux honoraires des notaires, ils ne font, à ce jour, l'objet d'aucune tarification légale. Dans la pratique, les frais de dossier varient entre 0,5 % et 1 % du prix de vente, en fonction de l'importance de ce dernier et de la difficulté du dossier.
Le notaire peut être considéré comme un garant de l'état de droit ou un arbitre impartial des contrats qu'il reçoit et dont il assure la moralité et la sécurité juridique, et ce, dans la mesure où il a pour mission d'authentifier - au moyen d'actes inattaquables - les volontés des contractants, d'alimenter les recettes budgétaires de l'état - par des prélèvements des droits d'enregistrement, des impôts et taxes - et de prévenir les litiges ou procès qui en découlent, évitant ainsi l'engorgement des tribunaux et participant, de ce fait, à la moralisation des relations contractuelles.
D'un point de vue socio-économique, c'est un partenaire nécessaire et important de la famille et de l'entreprise. En effet, son rôle est triple.
Au-delà du rôle de rédaction des actes, le notaire peut être un conseiller juridique sur moult questions : droit privé, droit immobilier, droit des affaires, droit des sociétés, droit international privé et aussi sur la fiscalité et la gestion de patrimoine.
Il a également pour mission d'informer, impartialement, les parties sur la portée des engagements qu'elles prennent.
Il joue aussi un rôle de sécurité et de prévention.
En effet, du fait de la rédaction d'actes juridiques, le notaire est en mesure de prévenir les litiges entre les parties.
Il veille sur les documents et actes publics et effectue les diverses formalités fiscales et juridiques; nécessaires à la perfection des contrats selon les dispositions légales. La finalité étant, pour les parties, de se mettre à l'abri de toute irrégularité vis-à-vis de la législation en vigueur.
Le notaire assume le rôle de conciliateur et de médiateur.
Face à un désaccord entre les parties, le notaire est le mieux placé pour chercher et aboutir à des solutions intermédiaires et mettre fin aux divergences à l'amiable.
Pour accomplir son devoir, le notaire a des frais liés à l'emprunt. Ce sont les frais liés à l'acquisition qui couvrent en réalité les frais et taxes, de nature totalement différentes.
Pour l'essentiel, les notaires se contentent de les collecter puis de les reverser à leur destinataire final, qui sont l'Etat et les collectivités locales. Les frais recouvrent la rémunération proprement dite du notaire, qui est fixée selon un barème national, en fonction du prix de la vente; les droits et taxes liés à l'acquisition (droit d'enregistrement, taxe de publicité foncière ou TVA selon que le bien est ancien ou neuf, salaire du conservateur des hypothèques, droits de timbre, ...) ; les frais et débours, c'est-à-dire l'ensemble des frais engagés pour constituer le dossier (extrait cadastral, état hypothécaire, ...).
Tous ces frais seront évidemment justifiés par le notaire ; en pratique, celui-ci vous demandera, le jour de la signature de l'acte de vente, une provision devant, en principe, couvrir la totalité de ces frais, et un peu plus. Puis, quelques mois après, il vous adressera un état détaillé de l'ensemble des frais engagés pour l'acquisition, habituellement accompagné d'un chèque représentant la différence entre le montant de la provision et celui du coût réel de l'opération. Sauf cas exceptionnels, les frais de notaire doivent être payés le jour de la signature de l'acte authentique ; c'est aussi ce jour là que l'acquéreur doit verser la somme correspondant au prix d'achat, diminuée des sommes qu'il aurait déjà versées au moment de la signature de l'avant contrat, notamment l'indemnité d'immobilisation. Exemple : les droits d'enregistrement relatifs à un acte de mainlevée d'hypothèque sont de 0,5% du montant de l'hypothèque, étant précisé que lorsque l'opération de crédit à été passée avec un établissement bancaire la mainlevée d'hypothèque est enregistrée gratuitement. La taxe foncière est de 150,00 DHS. Quant aux émoluments du notaire, en cas de revente du bien immobilier, ils ne font pas l'objet d'une tarification et dépendent de l'importance et de la difficulté du dossier. A signaler que le notaire est avant tout un officier public, établi pour recevoir les actes auxquels les parties doivent ou veulent faire donner le caractère d'authenticité; attaché aux actes de l'autorité publique pour en assurer la date, en conserver le dépôt. Les notaires sont nommés au Maroc par Dahir Royal. Les actes sont établis en langue française.







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bahaeeddine71@hotmail.com

Définition du Rôle du Notaire:

Le Notaire peut être considéré comme un garant de l'état de droit ou un arbitre impartial des contrats qu'il reçoit et dont il assure la moralité et la sécurité juridique. Et ce, dans la mesure où il a pour mission d'authentifier - au moyen d'actes inattaquables - les volontés des contractants, d'alimenter les recettes budgétaires de l'état - par des prélèvements des droits d'enregistrement, des impôts et taxes - et de prévenir les litiges ou procès qui en découlent, évitant ainsi l'engorgement des tribunaux et participant, de ce fait, à la moralisation des relations contractuelles.
D'un point de vue socio-économique, c'est un partenaire nécessaire et important de la famille et de l'entreprise. En effet, son rôle est triple :
Rôle de conseil :
Au-delà du rôle de rédaction des actes, le notaire peut être un conseiller juridique sur moult questions : droit privé, droit immobilier, droit des affaires, droit des sociétés, droit international privé et aussi sur la fiscalité et la gestion de patrimoine. Il a également pour mission d'informer, impartialement, les parties sur la portée des engagements qu'elles prennent.
Rôle de sécurité et de prévention :
Du fait de la rédaction d'actes juridiques, le notaire est en mesure de prévenir les litiges entre les parties. Il veille sur les documents et actes publics et effectue les diverses formalités fiscales et juridiques; nécessaires à la perfection des contrats selon les dispositions légales. La finalité étant pour les parties de se mettre à l'abri de toute irrégularité vis-à-vis de la législation en vigueur.
Rôle de conciliation et de médiation :
Face à un désaccord entre les parties, le notaire est le mieux placé pour chercher et aboutir à des solutions intermédiaires et mettre fin aux divergences à l'amiable.











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Paru sur le web
:Notariat - L’harmonisation en questionPropos recueillis par Daouda MBayeLa Nouvelle Tribune, Mai 2005Pour la première fois l'Afrique va abriter du 6 au 7 mai 2005 à Fès, les Assises de l'Union Internationale du Notariat Latin (UINL), en l'occurrence, l'Assemblée Générale Ordinaire de la Commission des Affaires Africaines. Est attendue la consolidation des liens entre notaires du Sud.
Une cinquantaine de notaires, Conseillers exécutifs permanents et Présidents de notariats, venus des cinq continents vont se retrouver en conclave sur le sol marocain. Une première dans les annales de l'histoire. La tenue de l'Assemblée Générale Ordinaire de la Commission des Affaires Africaines de l'Union Internationale du Notariat Latin (UINL- création le 2 octobre 1948), prévue les 6 et 7 mai à Fès au Maroc, tout simplement inédite, permettra très certainement, à l'occasion du 80ème anniversaire (vous avez bien lu " 80 ans ", près d'un siècle !) du Dahir de 1925 qui régit la profession au Maroc, d'aller de l'avant. L'UINL est dirigée par un Comité Exécutif, une sorte de gouvernement (voir En Encadré, la composition), secondé par le Secrétariat Général et le Conseil Permanent. Au cours de l'Assemblée Générale sont entérinées les différentes résolutions relatives à la bonne marche de l'association. La consolidation des liens entre ces officiers publics du continent qui s'attèlerons à harmoniser leurs législations, militera fort à la vulgarisation de l'acte authentique. Les professionnels locaux ne cessent d'œuvrer dans ce sens. Il est utile de préciser que le notaire est investi de plusieurs missions (authentifier les conventions et leur donner la force exécutoire d'un jugement de l'autorité publique, assurer la sécurité juridique, conseiller et/ou rapprocher les parties, …). Depuis l'adhésion du Maroc, le 26 septembre 1986, 40ème membre alors, les notaires ont été de tous les combats pour renforcer la sécurité juridique. L'heure est à faire une grande place à l'authenticité, qui assure la sécurité juridique, l'autonomie totale de la volonté des parties, sans dol et sans contrainte. Actuellement, l'un des plus gros problèmes aussi bien pour les citoyens, pour les pouvoirs publics et plus précisément pour la Justice, c'est le virus de l'écrit sous-seing privé, nous précise-t-on. Il constitue 92% du contentieux judiciaire. Le palliatif serait que chacun fasse le travail qui lui est habilité. Imaginez un peu un généraliste, un dentiste, ou que sais-je encore, un chirurgien se mette à exercer un métier autre que le sien …
Modernité, modernité
Le Royaume qui compte, aujourd'hui, quelque 600 notaires et 1.500 stagiaires, contre seulement 4 notaires et 15 stagiaires en 1978, est sur une phase ascendante. Me Houcine Sefrioui, membre très dynamique, fait partie du Comité Exécutif, est chargé d'affaires aux Nations Unies, …a participé aux travaux de toutes les commissions, notamment celle des Droits Humains avec des missions à Genève, à l'Unesco … Grand artisan de la rencontre annoncée, il préconise une mise à niveau de la profession (voir Trois Questions). Mais comment se présente-t-elle ? Au Maroc, les notaires sont réunis au sein de la Chambre Nationale du Notariat Moderne. Malgré quelques difficultés, les choses avancent dans le bon sens. Le Conseil National de l'Ordre des Notaires est en gestation. Il est même bien avancé, car il est contenu dans la réforme soumise à Sa Majesté et qui a été approuvée par le Conseil de Gouvernement en janvier dernier. La balle est aujourd'hui dans le camp de l'Administration publique. Ce ne serait que justice rendue, si les choses avançaient un peu plus vite. C'est d'autant plus juste que la principale entrave, vécue par la profession, a trait à l'ancienneté de la loi qui la régit. En effet, le Dahir du 4 mai 1925, sur proposition de Protectorat (de l'histoire ancienne) est une pâle copie de la Loi française dite Ventose du 16 mars 1803. " Nous sommes ainsi régis par le texte et l'esprit des 18ème et 19ème siècles " clame Me Sefrioui. C'est donc légitimement que les objectifs sont axés sur la mise à niveau du notariat marocain sur celui de l'Union du Notariat Latin, qui compte aujourd'hui 73 membres. Le qualificatif latin qui offusque un peu devra d'ailleurs disparaître. Les autres formes de notariats, notamment musulman (de Turquie, par exemple), indonésien, japonais, chinois, … dictent l'abrogation de ce vocable. Déjà évoquée à la réunion du Comité Exécutif de Mexico en octobre 2004, puis ajournée à celle de février 2005 au Costa Rica, cette suppression sera traitée à Barcelone en mai 2005, sinon le Conseil Permanent tranchera en octobre à Rome, indique-t-on.
En tout cas, en invitant ses pairs africains et du monde à Fès, le notaire, ce partenaire de l'entreprise pour assurer l'authenticité de tout document, de la famille pour les grandes occasions, qui intervient dans les questions de patrimoine (immobilier, terre, …) de vie domestique, sort de sa réserve et met en avant les atouts de sa profession pour la société
Photo : La quiétude successive à l'acte authentique D. MB
Encadré : Le Comité Exécutif de l'UINL proposé pour la période 2005-2007
M. Giancarlo Laurini, Italie, PrésidentM. Abdoulaye Harissou, Cameroun, Vice- Président Zone Afrique M. Denis Marsolais, Canada, Vice- président Zone Amériques du Nord, centrale et CaraïbesM. Joao Figueiredo, Brésil, Vice- Président Zone Amérique du Sud M. Sadayuki Funabashi, Japon, Vice- Président Zone Asie M. Aart Heering, Pays-Bas, Vice-Président Zone EuropeM. Mario Miccoli, Italie, SecrétaireM. Michel Merlotti, Suisse, TrésorierEt une quinzaine de Membres de divers pays, dont trois venant du Bénin (M. Ganiou Adechy), du Mali et du Maroc (M. Houcine Sefrioui)
Trois questions à M. Houcine Sefrioui, Docteur en Droit, Notaire
La Nouvelle Tribune
: Qu'est ce que l'UINL ?M. Houcine Sefrioui : L'Union Internationale du Notariat Latin regroupe 73 Notariats dans le monde. Elle est structurée de manière très précise. A la tête du Conseil Exécutif se trouve un Président. Ce Conseil Exécutif, véritable gouvernement de notre association, compte en son sein, des vices- présidents continentaux, un secrétaire général, un trésorier et plusieurs membres. Parmi ces derniers, plusieurs viennent du continent africain. L'Assemblée Générale Ordinaire qui va se dérouler du 6 au 7 mai sera rehaussée par la présence effective du Président de l'Union Internationale. Que va apporter une telle réunion à la profession, en général, et aux notaires locaux, en particulier ? L'amélioration de la profession qui sera tirée vers le haut. Nous sommes conscients que tout d'abord, géographiquement, culturellement et historiquement, nous sommes une partie intégrante de l'Afrique, et ensuite un carrefour de civilisations, de religions et de valeurs. Ainsi, le Maroc se positionne, pour le reste du continent et pour l'Europe, comme un passage obligé. Le Nord nous apporte ses avancées et mieux nous éclaire sur les voies à suivre en imitant les succès et évitant scrupuleusement ses échecs. Sur le plan local, ce sont nos liens avec le reste de l'Afrique qui seront consolidés. N'est-ce pas une suite logique des derniers voyages de Sa Majesté Le Roi en Afrique de l'Ouest et du Centre? Il est vrai que cela ne date pas d'aujourd'hui, les souverains chérifiens ayant toujours eu une attention particulière au reste du continent. Aussi, une telle rencontre permettra d'unifier les actions et nous permettra de parler d'une seule et même voix, pour se constituer en réelle puissance aux côtés des pôles européens et américains du sud, sur le plan international. Mettrez-vous le focus sur un thème particulier ? Nous concentrerons nos efforts sur la mise en harmonie de toutes les législations notariales africaines. Il ne faut pas perdre de vue que le notariat africain est déjà groupé autour d'un Acte africain qui s'appelle l'Ohada. Nous nous attèlerons à sensibiliser les pouvoirs publics à adhérer à l'Ohada et accentuer les échanges d'expériences, d'une part et l'accueil des stagiaires, d'autre part. Ceci pour la simple et bonne raison qu'il existe encore des pays qui n'ont pas encore acquis la maturité notariale, tels que la Mauritanie, avec qui des échanges peuvent se faire. Il revient au Maroc de contribuer au développement de la profession dans ce sens. Apporter un tel concours aussi bien en langue française qu'en arabe, est une noble cause.
Propos recueillis par Daouda MBaye



LE NOTARIAT MAROCAIN

Le notariat marocain (type latin) est institué au Maroc par :
Le Dahir du 4 mai 1925 portant organisation du notariat.
Copie textuelle intégrale de la loi française dite : « Vantôse »,
Du 25 Vantôse an XI (16 mars 1803)
Le Notaire :
- NOMME PAR DAHIR DE SA MAJESTE LE ROI,
- Délégataire de l’autorité publique
qui * Confère à ses actes l’authenticité
ayant la :
(force probante) =
(force exécutoire)
* Elimine au départ le recours aux
Tribunaux : (92% du contentieux
judiciaire : S.S.P)
* Conserve en dépôt : - tous documents des transactions - toutes sommes
* Assure la sécurité des transactions
* contribues à la sécurité juridique
publique


Attributions / compétences:
Le statut personnel et successoral : des non musulmans
quelque soit leur nationalité
La vie juridique des sociétés: (constitution, gestion juridique,
augmentation réduction du capital
dissolution)
Les transactions immobilières : des immeubles immatriculés ou
en cours d’immatriculation
à la conservation foncière
La vie juridique domestique quotidienne : Procurations,
reconnaissance de dettes,
remises, dépôts de sommes,
affaires commerciales, baux,
loyers, dépôts de divers actes.

Contrats d’investissements

Contrats de nantissements,
d’hypothèques et assimilés.

Le conseil juridique et fiscal (responsable).

Le notariat répond aux besoins de :
Sécurité, compétence, secret, rapidité, conservation, preuve, disponibilité, autorité de la chose jugée.

Importance numérique
1978 = 3 notaires, 15 clercs : stagiaires
1980 = 15 notaires, 30 clercs : stagiaires
1986 = 24 notaires, 24 clercs : stagiaires
1989 = 45 notaires, 100 clercs : stagiaires
2000 = 300 notaires, 1000 clercs : stagiaires
2003 = 440 notaires, 1500 clercs : stagiaires

Groupement professionnel :
Groupés au sein de :

" LA CHAMBRE NATIONALE DU NOTARIAT MODERNE AU MAROC"

(association du droit privé : Dahir (ordonnance Royale) du 15 novembre 1958)

OBJET :
Développer l’esprit d’entraide et d’unité entre tous ses membres.
Sauvegarder les droits et intérêts de ses membres.
Elargir le contact et contribuer à la bonne marche du Notariat
au Maroc
Contribuer à la formation des aspirants au Notariat.

SIEGE
A Casablanca, 41, Rue Jilali El Ouraïbi (Ex rue Foucauld), 3ème Etage
Angle Boulevard Mohamed V.
TEL : 20-98-37 / 20-98-49 FAX : 20-98-58


Le tableau nominatif des Notaires en exercice est à demander à :
la chambre aux numéros ci-dessus..

SUR LE PLAN INTERNATIONAL

Le notariat marocain fait partie de :

" L’UNION INTERNATIONALE DU NOTARIAT LATIN " UINL

O.N.G, - fondée le 2 octobre 1948 a Buenos Aires (Argentine)
membre du conseil économique et social des nations unies,

UNESCO, conseil de l’Europe.
groupant 70 notariats membres, repartis sur 4 continents :

(Afrique, Amérique Latine, Europe, Asie)
Notaires autonomes travaillant comme professionnels libéraux
(et non-fonctionnaires y compris : la Chine, le Japon, la Turquie,
la Russie, l’Indonisie, et les Européens de l’Est).

Le notariat marocain a été admis à l’U.I.N.L. le 26 septembre 1986, il est membre des commissions spécialisées internationales :

Coopération Notariale Internationale (C.C.N.I.). ………..…….. 1 siège.
Affaires Européennes et la Méditerranée (CAEM) ………….… 3 sièges
Le conseil permanent (organe suprême de l’union………… 2 sièges.
La commission des droits Humains ………………………………….… 1 siège
Chargé d’affaires aux Nations Unies …………………………………... 1siège
Chargé de missions à l’U.N.E.S.C.O. ……………………………….…… 1 siège
Chargé de missions à Genève (société de l’information) .….. 1 siège

Le notariat marocain est vice-Président de

L’Institut International de l’Histoire du Notariat (depuis 1994)

Il est également membre du notariat Euro-Méditeraneen
Il est en partenariat avec le conseil supérieur du Notariat Français




SUR LE PLAN NATIONAL
Il est membre de :
La C.G.E.M.( confédération générale des Entreprises du Maroc)
(Le patronat Marocain)

La F.N.I. (La fédération nationale de l’immobilier)
Vice président

L’U.G.E.P. (union générale des entreprises et professions).

PUBLICATIONS NOTARIALES

A/ - Sur le plan International :
Le Gnomon :
Revue Internationale d’Histoire du Notariat :

Articles publiés :
Le notariat dans le Coron
L’acte adoulaire au Maroc
Les successions Musulmanes
Le Notariat en Andalousie
La vente immobilière « SEFQA »
Les actes juridiques en droit international privé
L’historique du Notariat au Maroc
Les donations en droit musulman
La Pape Silvestre II lauréat
de l’Université « la Quaraouiyine »

B/ - Ouvrages (à consulter)

* en langue Française :

1973 - La Condition des Etrangers au Maroc
1973 - Déontologie de la profession d’avocat au Maroc
1986 - Le droit privé notarial
1986 - Les droits réels
1997 - Lexique Notarial (Français, Arabe)
1998 - Le Notariat au Maroc (moderne - adoulaire)
1999 - Terminologie Notariale Internationale
en français – Espagnol – anglais – Allemand – Italien – Arabe.
- Le Statut Personnel (Musulman - Israélite - international)
1999 - Le Maroc Juridique
2000 - Textes intéressants le Statut des Israélites marocains
2000 - Le Notariat Racines / Histoire / Statut et auteurs en Andalousie et au Maghreb
2002 – La condition des étrangers et le droit international privé
2002 – Le monde du Notariat
2002 – Le droit coutumier au Maroc
2002 – Historique des capitulations
2002 – La loi Vantôse Marocanisée et Arabisée au Maroc
2002 – Les auteurs Andalous du Notariat

* en langue Anglaise :

1988 - The Private Notary of Law in Morocco.
1998 - The Notary in Marocco.

* en langue Espagnole :

1987 - Derecho Privado Notariat en Maruecos
1998 - El Notariado en Maruecos
1999- Glossaire de Terminos de Notariado
Personne à contacter : Maître Houcine SEFRIOUI
Adresse : Résidence Adriana, 63, Boulevard Moulay Youssef, 6ème étage, Casablanca
E-mail : sefrioui@yahoo.fr
sefrioui@open.net.ma
sefrioui@wanadoo.net.ma
Site web : http/www.notairesefrioui.com

LE NOTARIAT MAROCAIN

Le notariat marocain (type latin) est institué au Maroc par :
Le Dahir du 4 mai 1925 portant organisation du notariat.
Copie textuelle intégrale de la loi française dite : « Vantôse »,
Du 25 Vantôse an XI (16 mars 1803)
Le Notaire :
- NOMME PAR DAHIR DE SA MAJESTE LE ROI,
- Délégataire de l’autorité publique
qui * Confère à ses actes l’authenticité
ayant la :
(force probante) =
(force exécutoire)
* Elimine au départ le recours aux
Tribunaux : (92% du contentieux
judiciaire : S.S.P)
* Conserve en dépôt : - tous documents des transactions - toutes sommes
* Assure la sécurité des transactions
* contribues à la sécurité juridique
publique


Attributions / compétences:
Le statut personnel et successoral : des non musulmans
quelque soit leur nationalité
La vie juridique des sociétés: (constitution, gestion juridique,
augmentation réduction du capital
dissolution)
Les transactions immobilières : des immeubles immatriculés ou
en cours d’immatriculation
à la conservation foncière
La vie juridique domestique quotidienne : Procurations,
reconnaissance de dettes,
remises, dépôts de sommes,
affaires commerciales, baux,
loyers, dépôts de divers actes.

Contrats d’investissements

Contrats de nantissements,
d’hypothèques et assimilés.

Le conseil juridique et fiscal (responsable).

Le notariat répond aux besoins de :
Sécurité, compétence, secret, rapidité, conservation, preuve, disponibilité, autorité de la chose jugée.

Importance numérique
1978 = 3 notaires, 15 clercs : stagiaires
1980 = 15 notaires, 30 clercs : stagiaires
1986 = 24 notaires, 24 clercs : stagiaires
1989 = 45 notaires, 100 clercs : stagiaires
2000 = 300 notaires, 1000 clercs : stagiaires
2003 = 440 notaires, 1500 clercs : stagiaires

Groupement professionnel :
Groupés au sein de :

" LA CHAMBRE NATIONALE DU NOTARIAT MODERNE AU MAROC"

(association du droit privé : Dahir (ordonnance Royale) du 15 novembre 1958)

OBJET :
Développer l’esprit d’entraide et d’unité entre tous ses membres.
Sauvegarder les droits et intérêts de ses membres.
Elargir le contact et contribuer à la bonne marche du Notariat
au Maroc
Contribuer à la formation des aspirants au Notariat.

SIEGE
A Casablanca, 41, Rue Jilali El Ouraïbi (Ex rue Foucauld), 3ème Etage
Angle Boulevard Mohamed V.
TEL : 20-98-37 / 20-98-49 FAX : 20-98-58


Le tableau nominatif des Notaires en exercice est à demander à :
la chambre aux numéros ci-dessus..

SUR LE PLAN INTERNATIONAL

Le notariat marocain fait partie de :

" L’UNION INTERNATIONALE DU NOTARIAT LATIN " UINL

O.N.G, - fondée le 2 octobre 1948 a Buenos Aires (Argentine)
membre du conseil économique et social des nations unies,

UNESCO, conseil de l’Europe.
groupant 70 notariats membres, repartis sur 4 continents :

(Afrique, Amérique Latine, Europe, Asie)
Notaires autonomes travaillant comme professionnels libéraux
(et non-fonctionnaires y compris : la Chine, le Japon, la Turquie,
la Russie, l’Indonisie, et les Européens de l’Est).

Le notariat marocain a été admis à l’U.I.N.L. le 26 septembre 1986, il est membre des commissions spécialisées internationales :

Coopération Notariale Internationale (C.C.N.I.). ………..…….. 1 siège.
Affaires Européennes et la Méditerranée (CAEM) ………….… 3 sièges
Le conseil permanent (organe suprême de l’union………… 2 sièges.
La commission des droits Humains ………………………………….… 1 siège
Chargé d’affaires aux Nations Unies …………………………………... 1siège
Chargé de missions à l’U.N.E.S.C.O. ……………………………….…… 1 siège
Chargé de missions à Genève (société de l’information) .….. 1 siège

Le notariat marocain est vice-Président de

L’Institut International de l’Histoire du Notariat (depuis 1994)

Il est également membre du notariat Euro-Méditeraneen
Il est en partenariat avec le conseil supérieur du Notariat Français




SUR LE PLAN NATIONAL
Il est membre de :
La C.G.E.M.( confédération générale des Entreprises du Maroc)
(Le patronat Marocain)

La F.N.I. (La fédération nationale de l’immobilier)
Vice président

L’U.G.E.P. (union générale des entreprises et professions).

PUBLICATIONS NOTARIALES

A/ - Sur le plan International :
Le Gnomon :
Revue Internationale d’Histoire du Notariat :

Articles publiés :
Le notariat dans le Coron
L’acte adoulaire au Maroc
Les successions Musulmanes
Le Notariat en Andalousie
La vente immobilière « SEFQA »
Les actes juridiques en droit international privé
L’historique du Notariat au Maroc
Les donations en droit musulman
La Pape Silvestre II lauréat
de l’Université « la Quaraouiyine »

B/ - Ouvrages (à consulter)

* en langue Française :

1973 - La Condition des Etrangers au Maroc
1973 - Déontologie de la profession d’avocat au Maroc
1986 - Le droit privé notarial
1986 - Les droits réels
1997 - Lexique Notarial (Français, Arabe)
1998 - Le Notariat au Maroc (moderne - adoulaire)
1999 - Terminologie Notariale Internationale
en français – Espagnol – anglais – Allemand – Italien – Arabe.
- Le Statut Personnel (Musulman - Israélite - international)
1999 - Le Maroc Juridique
2000 - Textes intéressants le Statut des Israélites marocains
2000 - Le Notariat Racines / Histoire / Statut et auteurs en Andalousie et au Maghreb
2002 – La condition des étrangers et le droit international privé
2002 – Le monde du Notariat
2002 – Le droit coutumier au Maroc
2002 – Historique des capitulations
2002 – La loi Vantôse Marocanisée et Arabisée au Maroc
2002 – Les auteurs Andalous du Notariat

* en langue Anglaise :

1988 - The Private Notary of Law in Morocco.
1998 - The Notary in Marocco.

* en langue Espagnole :

1987 - Derecho Privado Notariat en Maruecos
1998 - El Notariado en Maruecos
1999- Glossaire de Terminos de Notariado
Personne à contacter : Maître Houcine SEFRIOUI
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  1. Notariat: Un éditeur de logiciels s’installe au Maroc

    · Acte notarié, formalités administratives, tenue de la comptabilité… les offres· Informatiser les relations avec l’administration, seconde étapeSécuriser et fluidifier les transactions notariales. Telle est l’offre de l’éditeur français de logiciels destinés aux études notariales, GenApi. Cela fait trois ans que la direction de cette société héraultaise (région de Montpellier dans le sud de la France) multiplie les allers-retours entre Casablanca et l’Hexagone. Objectif: créer une filiale marocaine de leur société pour commercialiser leurs logiciels. Actuellement en cours de création, GenApi Maroc lancera ses solutions informatiques sur le marché dès le mois prochain. Les logiciels de la société héraultaise concernent la production d’actes notariés, les formalités administratives et la tenue de la comptabilité de l’étude. «L’informatisation des études notariales est devenue une nécessité, eu égard au grand nombre de dossiers à traiter. Les solutions de GenApi permettent justement d’assurer non seulement la rapidité, mais aussi la sécurisation de la production notariale», explique Me Es-Said Boujida, consultant juridique de GenApi Maroc. Avec les solutions de l’entreprise Héraultaise, il suffit aux notaires, pour produire un acte notarié, par exemple, d’entrer les noms et informations relatives aux cocontractants, si ces derniers n’éxistent pas sur la base de données, pour avoir une copie de l’acte, prête à la signature. Selon Jean-Luc Boixel, directeur général de GenApi, «les modèles des actes, formalités et autres règles comptables que nous lancerons sur le marché marocain seront bien entendu adaptés à la législation marocaine». Mieux encore, poursuit Boixel, «nos clients pourront également bénéficier d’une mise à jour continuelle des logiciels en fonction de l’évolution de la législation». L’étude notariale n’est qu’un premier pas pour la société GenApi qui compte s’attaquer, dans un deuxième temps, à la e-inscription à la conservation foncière et à la e-déclaration aux services d’enregistrement. «Le développement du e-gouvernement au Maroc devrait permettre aux études notariales d’informatiser davantage leurs relations avec les différents services administratifs», souligne Philippe Rivière, PDG de GenApi. Et à Boujida d’ajouter, «cela va aussi et surtout réduire au maximum les intermédiaires et les encombrements devant ces services». GenApi a déjà commercialisé ses services en continent africain. «Nous avons prospecté au Sénégal, Mali et Togo. Mais nous n’avons pas créé de filiale parce que la taille de ces marchés ne le permettait pas», explique Rivière. Au Maroc, la société dispose d’un marché de plus de 400 études dont 160 dans la seule région de Casablanca.
    33 millions d’euros de chiffre d’affaires
    En 1988, Philippe Rivière, actuellement PDG de GenApi, crée cette société avec 4 personnes pour développer sur IBM AS400 un logiciel pour d´importantes études notariales parisiennes. En 1994, la start-up adapte son logiciel aux micro-ordinateurs. Elle s’attaque à d’autres marchés tels que la Belgique ou encore l’Allemagne. Avec 250 salariés, GenApi réalise un chiffre d’affaires annuel de 33 millions d’euros. L’éditeur compte beaucoup sur le service après vente (SAV) qui s’accapare près du tiers de ses ressources humaines. «Le SAV constitue un pan important de notre offre, puisqu’il nous permet d’assurer nous-mêmes les formations pour nos produits et les mises à jour nécessaires», souligne Jean-Luc Boixel. Naoufal BELGHAZI